Par le biais de la musique, de la danse, des arts divers et de tous supports créatifs, nous souhaitons transmettre, les bien faits de la culture Hip-Hop afin de les transformer avec cette jeunesses en manques de repères. Malgré la différence de leurs vécus, les jeunes se retrouvent dans la souffrance liée à la place sociale qu’ils occupent. Ils sont porteurs d’un discours commun : « Ma haine et ma rage c’est ça que j’fais parler / J’vous parle de discrimination / En France ou au bled j’suis issu d’l’immigration ». Le hip-hop est devenu une référence identitaire collective, que ce soit pour les jeunes des banlieues françaises et du monde. Le rap est une musique qui encourage l’unité entre les jeunes qui font face à la différence entre l’imaginaire et le monde réel dans lequel ils vivent et condamnent. Selon KEHL Maria Rita (Psychanalyste brésilienne), la musique introduit un processus d’identification transversal chez les jeunes : « S’appeler frère n’est pas gratuit. Cela dévoile une intention d’égalité, un sentiment de fratrie, dans un champ d’identifications horizontales (…). Les paroles sont des requêtes dramatiques au semblable, au frère : approche-toi de nous, augmente notre force (…) [La force des groupes de Rap] vient de son pouvoir d’inclusion, de son insistance à introduire de l’égalité entre l’artiste et le public, tous noirs, tous d’origine pauvre, tous victimes de la même discrimination et du même manque d’opportunités. »
Au regard de tous ces constats, notre analyse nous conduit à proposer le Projet « Z.E.P Festival », à la fois comme un outil d’identification et de revendication des jeunesses et aussi des temps de rencontres et échanges intergénérationnelles… Par cette action, nous aurons l’occasion d’accompagner des jeunes dans entrepreneuriat, dans la création de nouvelles formes d’être ensemble à partir de la construction de liens autour des « cultures populaires » d’hier et d’aujourd’hui. Gageons que ces prochaines rencontres génèrent un partage qui introduira de nouvelles formes de socialisation entre les jeunes d’un même quartier et entre ces jeunes de qu’autres populaires. Par le biais des « Zones d’Echanges Populaires » parlerons des conflits de manière médiatisée. En cherchant des mots, des rimes ou tous autres modes d’expression artistique les jeunes pourront ainsi s’approprier un contexte et s’ouvrir à la possibilité d’agir sur les représentations Ses jeunes du monde moderne (banlieue, campagne, ville..) d’ici et d’ailleurs se retrouvent souvent dans une même revendication : Avoir une place dans la société qui ne soit pas figée par la négativité et envisager un autre avenir voué à l’instabilité. L’identification à ce mouvement collectif «Z.E.P FESTIVAL » rassemble des pépites dont ils puisent la force, tant dans l’accompagnement des épreuves qu’ils vivent que dans leurs revendications De changement : « L’éducation par la culture ZEP est en marche »…
Par le biais de la musique, de la danse, des arts divers et de tous supports créatifs, nous souhaitons transmettre les bienfaits de la culture Hip-Hop afin de les transformer avec cette jeunesse en manque de repère.
Malgré la différence de leurs vécus, les jeunes se retrouvent dans la souffrance liée à la place sociale qu’ils occupent. Ils sont porteurs d’un discours commun : « Ma haine et ma rage c’est çaque j’fais parler / J’vous parle de discrimination / En France ou au bled j’suis issu d’l’immigration ». Le hip- hop est devenu une référence identitaire collective pour les jeunes des banlieues françaises et du monde. Le rap est une musique qui encourage l’unité entre les jeunes qui font face à la différence entre l’imaginaire et le monde réel dans lequel ils vivent et condamnent.
Selon KEHL Maria Rita (Psychanalyste brésilienne), la musique introduit un processus d’identification transversal chez les jeunes : « S’appeler frère n’est pas gratuit. Cela dévoile une intention d’égalité, un sentiment de fratrie, dans un champ d’identifications horizontales (…). Les paroles sont des requêtes dramatiques au semblable, au frère : rapproche-toi de nous, augmente notre force (…) [La force des groupes de Rap] vient de son pouvoir d’inclusion, de son insistance à introduire de l’égalité entre l’artiste et le public, tous noirs, tous d’origine pauvre, tous victimes de la même discrimination et du même manque d’opportunité. »
Au regard de tous ces constats, notre analyse nous conduit à proposer le Projet« Z.E.P Festival », à la fois comme un outil d’identification de revendication des jeunes et aussi des temps de rencontreset échanges intergénérationnels… Par cette action, nous aurons l’occasion d’accompagner des jeunes dans l’entreprenariat, dans la création de nouvelles formes d’être ensemble à partir de la construction de liens autour des « cultures populaires » d’hier et d’aujourd’hui.Gageons que ces prochaines rencontres génèrent un partage qui introduira de nouvelles formes de socialisation entre les jeunes d’un même quartier et d’autres quartiers populaires. Par le biais des « Zones d’Échanges Populaires » nous parlerons des conflits de manière médiatisée. En cherchant des mots, des rimes ou tous autres modes d’expression artistique, les jeunes pourront ainsi s’approprier un contexte et s’ouvrir à la possibilité d’agir sur les représentations.Ses jeunes du monde moderne (banlieue, campagne, ville..) d’ici et d’ailleurs se retrouvent souvent dans une même revendication : Avoir une place dans la société qui ne soit pas figée par la négativité et envisager un autre avenir voué à l’instabilité. L’identification à ce mouvement collectif « Z.E.P FESTIVAL » rassemble des pépites dont ils puisent la force, tant dans l’accompagnement des épreuves qu’ils vivent que dans leurs revendications de changement : « L’éducation par la culture ZEP est en marche »…